Dans le Haut Atlas, la population piégée par une sécheresse inquiétante
Ça commence à Marrakech et ça s’étend sur des centaines de kilomètres, tout au long du Haut Atlas occidental: pas une goutte d’eau dans les oueds, les ruisseaux et autres séguias. Le N’fis, venant du col Tizi N’test, le plus important fleuve dans la région, réceptacle de tous ces affluents avant d’aller se déverser dans les deux barrages les plus importants du Haouz, Yacoub El Mansour et Lalla Takerkoust, est complètement desséché...